Le salarié touche pendant cette période<span class="miseenevidence"> une allocation mensuelle</span>. Son montant est au moins égal à <span class="valeur">65 %</span> de la rémunération brute moyenne des 12 derniers mois précédant la <a href="/la-mairie/demarches-administratives/demarches-administratives-particuliers/?xml=R56070">notification du licenciement</a>.
L'allocation ne peut pas être inférieure à <span class="valeur">1 485,12 €</span>, soit <span class="valeur">85 %</span> du <a href="/la-mairie/demarches-administratives/demarches-administratives-particuliers/?xml=R31127">Smic</a>.
Si le salarié a travaillé à temps partiel durant un<a href="/la-mairie/demarches-administratives/demarches-administratives-particuliers/?xml=F2332"> congé parental d'éducation</a> ou de <a href="/la-mairie/demarches-administratives/demarches-administratives-particuliers/?xml=F3156">paternité</a> ou de <a href="/la-mairie/demarches-administratives/demarches-administratives-particuliers/?xml=F16920">proche aidant</a> au cours des 12 derniers mois avant le début du congé de reclassement, sa rémunération est calculée sur la base de d'un temps complet.
L'allocation est exonérée de cotisations et contributions sociales. Elle est toutefois soumise aux <a href="/la-mairie/demarches-administratives/demarches-administratives-particuliers/?xml=F2971">prélèvements sociaux</a> (à la CSG à un taux de <span class="valeur">6,20 %</span> et à la CRDS à un taux de <span class="valeur">0,5 %</span>).